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Photographie | Aérogels | Matériaux isolants | Isolants | Physiciens anglais | Induction électrostatique | Dix-neuvième siècle | Électrostatique | Dessins et plans | Érosion | Matériaux -- Érosion | Nappes de charriage | Failles normales | Matériaux | Orogenèse | Géologie | Boyaux de phoques | Robert Bunsen (1811-1899) | Isolants gazeux | Chimistes | ...
Aérogel isolant. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0ce9b-aerogel-isolant

Aérogel isolant

Fleur posée sur un bloc d'aérogel l'isolant de la chaleur d'un bec bunsen.

Cendrier en aérogel. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0cf39-cendrier-en-aerogel

Cendrier en aérogel

Cendrier en aérogel.

Anorak inuit traditionnel. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fc2194-anorak-inuit-traditionnel

Anorak inuit traditionnel

Anorak inuit d'adulte traditionnel en boyau de phoque : Parka (Kamleika). À l'origine le terme anorak désigne un vêtement imperméable ou coupe-vent, s'enfilant par la tête. L'anorak peut se limiter à une coquille coupe vent ou être renforcé par un isolant thermique. La coupe est de forme relativement cintrée et courte afin de permettre les activités physiques, notamment la navigation en kayak, tout en conservant assez de largeur pour pouvoir être porté par-dessus des vêtements isolants. L'anorak comprend généralement une capuche solidaire. Les anoraks les plus anciens étaient réalisés dans les matériaux disponibles aux inuits présentant des propriétés d’imperméabilité, notamment les boyaux d'animaux ou la fourrure. Photographie du "Royal Albert Memorial Museum".

Bloc d'aérogel supportant une brique. Source : http://data.abuledu.org/URI/52b0bb80-bloc-d-aerogel-supportant-une-brique

Bloc d'aérogel supportant une brique

Brique de 2,5 kg posée sur un support en aérogel de 2 grammes.

Machine de Wimshurst. Source : http://data.abuledu.org/URI/50c27e68-machine-de-wimshurst

Machine de Wimshurst

Inventée par James Wimshurst à la fin du XIXe siècle, elle ne fut pas la première à utiliser l'induction électrostatique. Mais sa puissance la rendit rapidement très populaire. Cette machine était constituée de deux disques en verre munis de lames d'étain, contre lesquels viennent frotter des balais garnis de fils métalliques. Les charges produites étaient récupérées par des peignes métalliques, et stockées dans des bouteilles de Leyde. La machine de Wimshurst est une machine électrostatique inventée en 1882 par l'anglais James Wimshurst. Cette machine fut historiquement utilisée pour illustrer de nombreux phénomènes d'électricité statique ou la production d'ozone (à l'odeur caractéristique) dans un arc électrique. Elle est encore présente dans de nombreuses écoles. La machine de Wimshurst a une apparence caractéristique. Elle est équipée de deux larges disques constitués de matériaux isolants et recouverts de secteurs métalliques. Les deux disques tournent en sens opposé l'un par rapport à l'autre dans un plan vertical, les connexions se font à l'aide d'un dispositif de balais à friction permettant ainsi de récupérer la charge et d'emmagasiner l'énergie dans les bouteilles de charges (principe du condensateur). Au voisinage de pointes métalliques adéquatement connectées, et reliées à deux sphères convenablement disposées à une distance pouvant provoquer un étincelage, ce dispositif se nomme : éclateurs.

Nappe de charriage. Source : http://data.abuledu.org/URI/50957489-nappe-de-charriage

Nappe de charriage

Rested d'une nappe de charriage en gris, après un début d'érosion : matériel autochtone et allochtone, nappe, faille, fenêtre, klippe. Une nappe de charriage est un ensemble de couches géologiques qui, lors d'une orogenèse, se sont décollées du socle et se sont déplacées sur de grandes distances. On parle alors de terrains allochtones par opposition aux terrains autochtones. Les termes allochtone et autochtone sont utilisés par convention et ne préjugent pas du déplacement absolu des strates mais de leurs déplacements relatifs, il est en effet souvent impossible de déterminer si c'est la couche supérieure ou inférieure qui s'est déplacée. La zone par laquelle la nappe est restée attachée sur son socle s'appelle la racine, la racine est fréquemment invisible ou a disparu ; dans ce cas on utilise la notion de patrie qui désigne la région de provenance de la nappe si elle existe encore. Un morceau de nappe isolé du reste de la nappe par l'érosion s'appelle une klippe. Le terme îlot a aussi été utilisé en français, ce terme datant de l'époque où la nature des nappes de charriage n'était pas connue et où l'on pensait que ces lambeaux de charriage provenaient d'îlots entourés par une mer peu profonde. Une zone de la nappe érodée permettant de voir les terrains autochtones sous-jacents s'appelle une fenêtre.